Si On Chantait !

WILD SIDE LOU REED

Lou Reed, de son vrai nom Lewis Alan Reed, est décédé

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Lou Reed, de son vrai nom Lewis Alan Reed, est décédé ce dimanche 27 octobre à l'âge de 71 ans, annonce le magazine "Rolling Stones".

Une légende s'en est allée. Lou Reed est décédé, ce dimanche 27 octobre, annonce le magazine Rolling Stones. Âgé de 71 ans, l'ancien leader du Velvet Underground s'est éteint quelques mois après avoir subi une greffe du foie, en mai dernier.

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Né en 1942 dans le quartier de Brooklyn, à New York, Lou Reed, de son vrai nom Lewis Allan Reed, était notamment connu pour avoir mené le célèbre groupe Velvet Underground, à l'origine de "classiques" du rock comme Sunday Moring, Heroïn, Venus in Fur ou encore Sweet Jane.

L'influence du Velvet, et donc de Lou Reed, est légendaire. David Bowie, Pink Floyd, Joy Division, The Smiths, Queen… autant d'artistes et de groupes qui se sont inspirés de la créativité du musicien new-yorkais. Une influence telle que le producteur britannique Brian Eno aurait un jour déclaré que si seulement quelques milliers de personnes avaient acheté le premier disque du Velvet Underground, chacune d'entre elles avait ensuite créé un groupe. 

>> RTL rend hommage à Lou Reed lundi 28 octobre, à partir de minuit, à l'occasion d'une émission spéciale des Nocturnes de Georges Lang.

SALAUD ON T'AIME !

 

nvité de Nikos Aliagas pour l'émission d'Europe 1 Les Incontournables (diffusée ce samedi 26 octobre), Eddy Mitchells'est confié le temps d'une courte interview autour de ses différentes actualités.

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D'abord chanteur, Eddy Mitchell prépare la sortie de son 35e album,  Héros(dans les bacs le 4 novembre). L'occasion pour lui de revenir sur 50 ans d'une carrière, à l'heure où la légende qu'il est disait vouloir arrêter la musique. "Dire un jour, je vais faire une carrière de chanteur et d'acteur, qui va durer 50 ans... Non mais faut être barjot", confie-t-il avec ce sourire si célèbre. Modeste, Eddy Mitchell célèbre également un public pour lequel il refuse de dire "mon". "Mon public de m'appartient pas en propre. II faut arrêter de tout ramener à soi [...] ce qui m'appartient, c'est mes chansons et puis voilà", assure le chanteur de blues.

Pour Héros, Eddy Mitchell a également collaboré avec divers artistes, dont un plus inattendu, répondant au nom de Jean Dujardin. L'acteur oscarisé pour The Artist fait partie du cercle d'amis d'Eddy Mitchell. "On se connaît depuis un bon petit moment", avoue l'intéressé. En résultera un duo pour le moins original, aussi bien voulu par Mitchell que par Dujardin. "Jean avait ce projet de chanter un jour, être en studio avec des musiciens, raconte Eddy Mitchell, c'est un fantasme, mais pas difficile à réaliser, parce qu'il a le talent pour ça". Une collaboration "qui l'a déjà un peu dépucelé", finit par avouer avec humour le compositeur-interprète.

Derrière le chanteur, il y a également l'acteur. Cet été, Eddy Mitchell a mené de front l'écriture de son album et le tournage deSalaud, on t'aime. Un film, signé Claude Lelouch, où le comédien a retrouvé son grand pote, Johnny Hallyday. Si les deux complices se sont retrouvés pour un projet commun au coeur de la montagne savoyarde, Eddy Mitchell avoue qu'il n'a pas eu "le blues, mais on était quand même un peu déprimé". En cause, le lieu : "J'aime pas la montagne, toi non plus, mais alors qu'est-ce qu'on fout là", raconte-t-il, amusé.

Quant à son amitié avec Johnny Hallyday, tout aussi longue que sa carrière, Eddy Mitchell ne la voit guère comme l'union d'un duo à part. "Johnny [Hallyday] et moi on se connait depuis tellement longtemps et on s'aime beaucoup, c'est vrai, mais on va pas parler de boutique, de chansons ou de films ensemble. Donc on parle du présent, des enfants, de ce qu'on va manger le soir". En somme, le chanteur et acteur normal est aussi un homme normal.

http://leblogduyogaki.typepad.com/si_on_chantait_/ LE METEQUE TOUT FOUT LE CAMP

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On ne sait plus que Brian Jones a fondé le groupe en passant une petite annonce dans un journal, avec comme seule certitude de donner le nom de Rolling Stones

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 Marc Ysaye rappelle qu'avant leur succès monstre, les Rolling Stones étaient des jeunes (presque) comme les autres.

 

 

Le bilan est tout simplement hallucinant: 50 années de règne, 300 millions de rondelles écoulées, 24 albums studio, 9 sorties live, 32 compilations et une langue rouge dessinée par un designer nommé John Pasche qui, en 1971, facturait son idée à… 60 euros.

On a presque tendance à oublier une évidence: il fut un temps où les Rolling Stones n'étaient qu'une bande de gaillards insouciants, qui répétaient leurs compos chez la maman de Dick Taylor sous le nom de Little Boy Blue & The Blues Boys.

On ne sait plus que Brian Jones a fondé le groupe en passant une petite annonce dans un journal, avec comme seule certitude de donner le nom de Rolling Stones (d'après un titre de Muddy Waters) à son projet. Et bien sûr, on a beaucoup de mal à se rappeler que Mick Jagger et Keith Richards sont nés dans le même hôpital, la même année, avant d'apprendre à compter ensemble sur les bancs de l'école maternelle…

Marc Ysaye, lui, se souvient de beaucoup de choses. S'il n'avait que six ans lorsque les Stones ont donné leur premier concert à Londres en 1962, il en avait déjà sept quand ils ont sorti leur premier 45 tours: Come on, une reprise de Chuck Berry.

Pour raviver les mémoires, il s'est récemment rendu à Londres, avec l’objectif de fouler les lieux où l'histoire a commencé et de raconter dans Come On The Rolling Stones comment Mick, Keith, Ian et Dick ont allumé les premières étincelles en frottant leurs pierres les unes contre les autres. Un documentaire inédit et passionnant, qui sera suivi par la diffusion d'un concert tout aussi épatant: le "Live At The Max" capté lors de la tournée européenne du band en 1991. Premier show de l'histoire du rock à être filmé en format Imax 70 mm, ce défilé de tubes montre à lui seul comment les Stones ont basé leur cohésion sur l'énergie, les idées, l'insolence et le charisme. Mais disons que ça, on n'a pas encore vraiment eu l'occasion de l'oublier…

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A LA MODE

 

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Keith Richards, en pleine tournée anniversaire pour les 50 ans d'existence du groupe de rock le plus mythique, fait hurler sa guitare dans des pièces griffées Saint Laurent par Hedi Slimane. Le directeur artistique de la maison Saint Laurent a toujours mené une collaboration étroite entre la mode et la musique jusqu'à créer le Saint Laurent Music Project by Hedi Slimane intégré par Daft Punk pour leur album Random Access Memories qui sortira le 20 mai. Aujourd'hui, c'est Keith Richards qui se fait l'image de Saint Laurent en portant des pièces spécialement conçues pour lui et qui portent son nom. Hedi Slimane a crée un boléro et un veste de motard en cuir nommée Keith qui sera en vente au prix de 4 850,$. Des foulards en soie et des t-shirts à manches longues et manches courtes suivront. Joyeux anniversaire aux pierres qui roulent.

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Retrouver l'inde traditionnelle " Fetes de Ganesh"

Retrouver l'inde traditionnelle " Fetes de Ganesh"

La Fête du dieu Ganesh, le dieu éléphant, célébré chaque année dans le 18e arrondissement de Paris revient dimanche 2 septembre 2012 pour sa 17e édition. Au programme : célébrations religieuses et défilé très coloré au programme.

 

Comme chaque année, le temple de Ganesh de Paris Sri Manicka Vinayakar Alayam organise la Fête du dieu Ganesh. Celle-ci se tiendra le dimanche 2 septembre 2012 pour sa 17e édition et verra naître à nouveau un magnifique défilé festif.

Cette fête célèbre l’anniversaire du Dieu enfant, celui dont le père, a coupé la tête puis l’a remplacée par celle d’un éléphant. Le Seigneur Ganesh est le fils des divinités Shiva et Paravait. Symbole de l’amour et de la connaissance, ce Dieu-enfant à tête d'éléphant est, pour les Hindoues, à l’origine du monde et de tous les évènements de la vie.

On célèbre son anniversaire par un grand défilé dans le quartier La Chapelle. Sa statue parcourt les rues sur un char décoré suivi de son frère Muruga. Sachez qu'il apporte sa bénédiction sur son passage !